jeudi 12 avril 2012

Acting on an impulse

Stephan Zweig (1881-1942)


Just finished reading Stephan Zweig novella: Twenty-four hours in the life of a Woman. Loved it.




A mesmerazing book about compulsion or the somehow impredictible need to follow one's heart. Stephan Zweig uses the confession of an elderly  English woman, I'd say a heartbreaking confession, let's not forget that the story takes place in  1900 or so and the woman's respectability was at stake.


Mrs C. unburdens her soul by telling the narrator about the most terrible 24 hours of her life when in her foorties she became quite bewitched by a desesperate young Polish aristocrat addicted to gambling. She falls for him (and in his bed) while all she wanted was to prevent him from taking his own life.


Acting on impulse, be it motivated, consciously or not by passion or desire for riches can have life-changing consequences. It is far beyond any moral issue. 


About a hundred pages of old fashioned prose filled with long sentences and sub-clauses. I particularly loved the (may be too long) description of the hands of players in the casino. Powerful and quite subtle writing.


Two hours of my life: very moving and pleasant.








J'achève la lecture de "Vingt-quatre heures de la vie d'une femme". J'aime beaucoup. Environ une centaine de pages d'une écriture désuète, néanmoins puissante et subtile. La description (peut-être trop longue) des mains des joueurs du casino de Monte-Carlo m'a enchantée.

C'est un livre fascinant qui traite de la compulsion, de la nécessité de suivre, consciemment ou non les élans du coeur. Stephan Zweig utilise le personnage d'une vieille femme anglaise laquelle se confesse au narrateur. Une confession très émouvante car ce qui de nos jours peut paraître anodin était tout à fait inconcevable et choquant dans les années 1900.

Donc, cette Mme C. raconte vingt-quatre heures de son existence. Veuve de quarante ans environ, elle tombe sous le charme d'un très jeune aristocrate polonais (et également dans son lit). Elle souhaite seulement le sauver d'un suicide probable.

Obéir à ses impulsions entraîne des bouleversements qui peuvent changer le cours d'une existence. Passion amoureuse, addiction au jeu. On ne parle pas de morale.

Deux heures de ma vie...  Lecture émouvante et très plaisante.

1 commentaire:

asiemutée a dit…

J'aime bien, aussi, lire d'une traite ! Dernier cas : Bye, bye Blondie de V.Despentes, happy-end pour une fois, rien de mémorable, mais pas mal ;)
AsieMutée